Passe moi le sel !








Rien n'a d'égal que ces retours de plages, 
les yeux rougis par la sel, 
les muscles usées par les courants, 
les pieds brulés par le sable.

Rien n'a d'égal que ces journées de pure paresse,
où le seul indicateur de temps est celui de la marée, 
qui monte, et qui descend.

Rien n'a d'égal que l'attente de ces moments.

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