Ces derniers temps, j'ai eu l'occasion de me retrouver non loin de troupeaux d'adolescents.Troupeaux de type féminin.
Et mon oreille s'est retrouvée toute indiscrète. J'ai donc saisie (bon j'ai pas tout écouté, j'ai une vie quand même) quelques bribes des conversation qui s'échappait de ce troupeau de jeunes filles en fleur. Les conversations m'ont faites rires (quoique, on est de plus en plus précoces non ? C'est flippant, non ?), parce que c'est drôle de retrouver une certaine constance dans les périodes de vies que nous traversons tous (si si, même toi là, tu as été ado, moi la première alors arrête hein !), dans les préoccupations surtout et les doutes que ces préoccupations engendres !
Et mon oreille s'est retrouvée toute indiscrète. J'ai donc saisie (bon j'ai pas tout écouté, j'ai une vie quand même) quelques bribes des conversation qui s'échappait de ce troupeau de jeunes filles en fleur. Les conversations m'ont faites rires (quoique, on est de plus en plus précoces non ? C'est flippant, non ?), parce que c'est drôle de retrouver une certaine constance dans les périodes de vies que nous traversons tous (si si, même toi là, tu as été ado, moi la première alors arrête hein !), dans les préoccupations surtout et les doutes que ces préoccupations engendres !
Et même si je ne suis pas bonne pour donner un âge à vue de nez, je trouve que le plus beau dans l'histoire c'est l'insouciance que ces jeunes personnes portent sur elles. Ca éclate dans un rire, ça se voit dans un oeil...
Alors peut être que je ne suis plus aussi insouciante, peut être que mes préoccupations ont quelque peu dérivées, mais ce que j'aime dans le fait de ne plus être une ado, c'est le recul et l'assurance que m'apportent les années.
Parce que voilà, mon coté curieux/un poil indiscret me permet de me rappeler comment j'étais quelques années en arrière. C'était pas mal aussi, mais franchement, j'ai acquis en cours de route quelque chose que je ne troquerais pour rien au monde : l'acceptation de ce que je suis et le fait d'assumer ce que je fais, ai envie de faire ou pense. Ce sont ces deux points qui me donnent l'envie dévorante de créer cet espace, mais aussi et surtout ce qui va tout autour. C'est ce qui me pousse à me dire que je ne suis pas parfaite, mais diantre, qui l'est ? Et qui sont-ils ces gens qui jugent à tour de bras ?
J'assume, et ça me pousse à tenter de réaliser mes rêves et mes envies, quels qu'ils soient. Parce qu'au fond, les risques sont minimes à tendances inexistants.
J'assume parce que la honte n'existe que dans le regard d'autrui.
J'assume, parce que je trouve effrayant que le simple regard des autres puisse être un frein quelconque à nos vies.
J'assume donc (vous l'aurez compris). Et c'est une recette qui semble me rapprocher du bonheur !
Alors pourquoi des seins nus ? Parce qu'il faut assumer, c'est moi qui vous le dit. Je vais faire court, une femme au seins nus sur la plage n'est pas une fille de mauvaise vie qui se montre et cherche l'homme... C'est peut être juste une femme qui aime être à l'aise et profiter de la caresse du soleil sur l'ensemble de sa peau. Une femme qui trouve les deux panneaux de signalisation en négatifs à même la peau peu gracieux (vous suivez toujours?). Une femme qui trouve relativement inconfortable de garder deux triangles (ou autre forme hein, j'suis pas sectaire) trempés sur les boobs pendant des heures. Une femme qui ne regarderas jamais de travers un homme torse nu ! Allez hop, je m'arrête là, sinon on va finir par bruler nos hauts de maillots.
Alors, liberté du bonnet et bon Lundi !

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